Le lundi 21 avril 2025, plusieurs événements significatifs ont marqué l’actualité en France et à l’étranger. En France, des manifestations culturelles et des initiatives locales ont eu lieu, tandis qu’à l’international, des développements notables ont été observés.
À Lourdes, dans les Hautes-Pyrénées, la traditionnelle procession mariale aux flambeaux s’est déroulée en soirée. Cet événement, qui a lieu tous les soirs d’avril à octobre, a rassemblé de nombreux pèlerins venus du monde entier. La procession a traversé le sanctuaire, avec la statue de Notre-Dame de Lourdes portée en tête, permettant aux participants de prier et de demander des bénédictions pour leurs proches.
À Compiègne, dans l’Oise, le Musée du Château de Compiègne a ouvert ses portes pour la nouvelle exposition intitulée “Droit d’Entrée au Château de Compiègne”. Cette exposition, qui se tiendra jusqu’au 30 juin 2025, propose aux visiteurs de découvrir l’histoire et les collections du château à travers des visites guidées et des ateliers interactifs.
En Martinique, le quartier des Terres Sainville a accueilli la 9e édition de l’International Public Art Festival (IPAF). Cet événement a vu la participation de sept artistes internationaux, dont Waone Interesni Kazki d’Ukraine, Brothers of Light d’Israël, Ruben Carrasco du Mexique, et John Wentz des États-Unis. Les artistes ont réalisé des œuvres murales sur les façades des résidences rénovées, apportant une dimension artistique et culturelle au quartier.
À Nice, sur la Côte d’Azur, plusieurs événements culturels ont été annoncés pour les mois à venir. Parmi eux, le festival “Nuits du Sud” prévu du 10 au 19 juillet 2025 à Vence, et le festival “Jazz à Juan” du 10 au 20 juillet 2025 à Antibes. Ces festivals promettent une programmation riche en concerts et en animations, attirant des artistes et des visiteurs de toute la région.
Sur le plan international, le Collectif des Organisations des Enseignants du Cameroun (COREC) a annoncé un préavis de grève pour la semaine du 21 avril 2025. Cette décision fait suite à une déclaration du COREC dénonçant la crise profonde du système éducatif camerounais, caractérisée par des conditions de travail précaires pour les enseignants et un sous-investissement chronique dans le secteur. Les syndicats ont exprimé leur mécontentement face à l’inefficacité des politiques publiques et ont appelé à une action concertée pour sauver l’école camerounaise.