Jules Sitruk, né le 16 avril 1990 aux Lilas, est un acteur français reconnu pour ses rôles dans des films tels que « Monsieur Batignole » et « Moi César, 10 ans ½, 1m39 ». Issu d’une famille artistique, il est le fils de Claude Sitruk, leader du groupe Les Costars, et le cousin éloigné de l’acteur Olivier Sitruk. Après des études à l’École des Enfants du Spectacle et à la faculté de cinéma, il débute sa carrière à l’âge de 8 ans, en interprétant le rôle principal de Rémi dans la mini-série « Sans famille » aux côtés de Pierre Richard. Il poursuit avec des rôles notables dans « Monsieur Batignole » (2002), « Moi César, 10 ans ½, 1m39 » (2003) et « Vipère au poing » (2004). En 2006, il tourne son premier film en anglais, « Son of Rambow », à Londres. Plus récemment, il a joué dans « Le Fils de l’autre » (2013) et « Marie Madeleine » (2018). En plus de sa carrière d’acteur, Jules Sitruk a réalisé son premier court-métrage, « Windows », en 2015.
En avril 2022, Jules Sitruk fonde le Protis Club, une association visant à offrir des opportunités éducatives aux jeunes de Marseille, en partenariat avec HEC Paris et l’armée de Terre. Cette initiative a pour objectif de démocratiser l’accès aux grandes écoles pour les jeunes marseillais, en les accompagnant dans leur préparation aux concours d’entrée.
En avril 2023, Jules Sitruk est classé dans le palmarès « 30 Under 30 » du magazine Forbes, reconnaissant son influence et son engagement dans le domaine de l’éducation et de l’inclusion sociale.
En avril 2025, le prix du gaz atteint un record historique, avec une facture annuelle moyenne de 1 667 euros pour un foyer chauffé au gaz consommant 11 200 kWh par an, soit une augmentation de 27 % par rapport à juin 2023. Cette hausse est due à divers facteurs, notamment la fin des tarifs réglementés et les tensions géopolitiques. Des prévisions indiquent une possible baisse des tarifs dès mai 2025, suivie d’une stabilité en juin et d’une nouvelle baisse en juillet.
Par ailleurs, en avril 2025, la Chambre des représentants américaine avance sur le projet de loi anti-CBDC (HR 1919), visant à interdire à la Réserve fédérale d’émettre une monnaie numérique de banque centrale accessible au grand public. Ce projet reflète une méfiance croissante envers les CBDC, perçues par certains élus comme un outil de surveillance financière étatique.